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Elle se déhanche, bouge doucement sur une musique qui maintenant enivre nos journées. Pourtant on s'en balance bien de la Valentina, de son escapade à Rome et de ses désirs de dolce vita, Elle vit dans nos crânes, avec son petit sourire mutin. It's wonderful, c'est comme ça. Depuis qu'on est gosse, on grandit à travers des spots publicitaires, des affiches aussi grandes que nos mères, fasciés brillant sur les immeubles parfois gris de Paris. On sifflote la musique de la dernière pub à la mode, inconsciemment pris dans l'engrenage, c'est qui ce type déjà ? Paolo Conte ? Si efficace. On rêve de liberté, de femmes modernes, du pantalon de Coco Chanel à la jupe asymétrique qu'on trouve dans n'importe quelle boutique de prêt-à-porter. Parce qu'il y a cette femme, dans notre dernier Vogue qui la porte tellement bien, et ce parfum, dieu ce parfum, si Hermès a l'air si sauvage, si libre, alors notre homme le sera aussi. Ce serait si beau, n'est-ce pas, d'être cet homme-là ? On les désire, férocement. Cet homme, cette femme. C'est l'histoire, d'une perfection calculée à la mèche près, la notre, la votre.


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 F&C ~ Besta moment

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MessageSujet: F&C ~ Besta moment   F&C ~ Besta moment EmptyDim 6 Juil - 12:08


FANTA & CHIARA
Besta moment




L’été prenait place sur la ville parisienne. Il faisait une chaleur estival et assez étouffante, mais j’allais y survivre. Ce n’était pas la première fois après tout. Et puis nous étions sur Paris. C’était donc assez supportable, pas comme dans le sud. Pour le nombre de fois où j’y étais allée en vacances, ou bien même en Italie. Soupirant longuement, je pris l’éventail avant de m’éventer tant bien que mal. Il faisait chaud dans cette maison, et le fait que l’on n’ait jamais installé la clim allait me rendre juste dingue. Si mes hommes aimaient à transpirer, moi je n’aimais pas ça. Ils devraient le savoir pourtant depuis le temps. Soupirant, je fermais d’un coup sec l’éventail avant de sortir de ma chambre. Dévalant les escaliers en mode grosse baleine je sautais sur le plancher plissant le nez sous l’odeur. Oh my god. La télévision était presque à fond, et tout était fermé. L’odeur était presque insupportable. Ils n’avaient pas sortis les poubelles. Et bien sûr personne n’était là. Eteignant la télé, j’ouvris toutes les fenêtres avant de m’occuper du coin cuisine.  Tu m’étonnes que ça pue. Le poisson d’hier n’avait pas été mis au frais et avec cette chaleur… humm ça embaumait. Jetant celui-ci à la poubelle, je me mis plus ou moins à faire le ménage histoire que ça ne soit pas non plus crade. Si je ne le faisais pas ils ne le faisaient pas. Finissant en moins de temps qu’il n’en faut, je descendis au garage, avant d’attraper une clé à molette et la balancer dans le dos de mon frère. Jino. « Je t’avais dit de ranger le poisson hier ! » Il avait mal tant mieux. Mon regard noir, il ne répondit pas. M’approchant de Nino je lui donnais un coup de pied dans le mollet ce qui le fit perdre plus ou moins l’équilibre. « Et toi ?! Je t’avais dit de jeter les poubelles ! » Ajoutai-je en levant le poing signe de menace. Donnant une calotte sur la tête de Camillo je lui poussais la tête vers le bas. « Et toi d’ouvrir les fenêtres quand tu te lèves le matin ! » dieu que j’avais des frères stupides. M’approchant d’Enzo qui lui me souriait en mode tu ne m’avais rien dit de faire donc je suis tranquille, je lui mis un coup de poing dans le ventre avant de lui pincer la joue pour le pencher à ma hauteur. « ET TOI TU POUVAIS PAS LE LEUR RAPPELER ? » Dis-je en tirant sa tête avant de le lâcher en grognant. Pas un pour rattraper l’autre nom d’un chien. « Ça ne sert à rien ma fille ils sont irrécupérable. » Me tournant vers mon père je pouffais. « Dixit celui qui remet les mêmes chaussettes constamment si je ne m’occupe pas de son linge sale. » Dis-je en secouant la tête. « Bon les mollusques je vais au Chicha avec Fanfan. Bossait bien, TCHAO. » Dis-je en leur tournant le dos pour partir dans Paris. Simplement vêtu d’un short et d’un t-shirt un peu en mode j’en ai rien à branler de la mode, je m’éventais toujours avec l’éventail avant d’entrer dans le chicha. L’après-midi était bien entamé et j’avais glandé dans ma chambre toute la sainte journée. Interceptant la magnifique au fond, je la rejoignis avant de lui claquer deux gros bisous sur ses magnifiques joues et de m’assoir à côté d’elle. « J’ai l’impression de marcher dans le désert. » Dis-je avant de lever la main et claquer des doigts. « Garçon ! On veut passer commande ! » Dis-je avant de me tourner vers Fanta. « Ça va toi ? »


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